Partager Posté(e) 26 juillet 2018 (modifié) Partager le silence ainsi que les oiseaux Dans leur vol. Immobile, glisser sur le vent, Les ailes largement ouvertes sur le monde, Avec pour seul désir l’horizon éternel. Au milieu des marées de la terre et du ciel, Avancer sans regret, seconde après seconde, L’âme préoccupée à s’éjouir du présent, Seul en la multitude et serein sur les eaux. Renaître chaque jour en l’aube, universel, Illuminé d’amour autant que de lumière, Baignant dans la beauté comme dans l’éphémère. Puis terminer sa vie comme on clôt sa bohèmePour éteindre son oeil sur l'ultime poème, Affranchi de la crainte et, enfin, fraternel. février 2005 Modifié 26 juillet 2018 par Léonard correction orthographique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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