Posté(e) 2 avril (modifié) Je viens, je m’accélère et ne fait qu’exister; J’affole ma cadence au fil de vos années D’oubli, dans l’ignorance où vos âmes damnées Mettent de l’importance à vouloir résister. Je coule indifférent ainsi d’être lesté Par un poids de nuisance en fièvres surannées, Qui m’emporte plus loin, aux portes condamnées D’une folle entreprise où j’aurais dû rester. Je suis le Temps dément qui ne ralentit guère, Dont le pas était lent, mais ça c’était naguère Dans l’enfance d’hier à l’éternel été. Lors j’étais le garant de délices oblongues Au début de la vie aux heures les plus longues, Alors que je parais ne pas avoir été. Nouvel enregistrement 2.m4a Modifié 2 avril par Jeep
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