Partager Posté(e) 22 août 2023 Les lavandes pourpres ont l'ultime parfum de l'enfance immortelle ; sur le banc deux cœurs ont caché leur amour de peur qu'il ne se sauve et le liseron rose les a tressés à jamais entre ses doigts diaphanes comme un fuseau de fleurs au bout d'un chemin inaccessible où l'homme et ses mensonges n'aura jamais accès à l'ombre, comme un songe bleu dans la nuit noire où chante la dernière cigale de l'été de miel et de mémoire c'est un petit banc où je ne peux m'asseoir condamnée à vivre l'injustice du survivre (joailes ----) 22 août 2023 4 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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