Jolie petite chinoise

Fang Yin

Dans l'ombre,

Sans bruit,

Sous son ombrelle.

 

Un bel indien,

Amalendu,

Sur la colline d'en face

La voyait chaque soir

Comme un rayon de lune.

Cœurs amoureux,

Ombres chinoises ... 

 

 

Amalendu fit des signaux

De fumée ;

Elle lui offrit le thé,

Derrière son éventail

Parfumé.

 

"Je t'aime" cria

Amalendu,

Eperdu.

 

Et Fang Yin

Ferma son ombrelle

Et lui ouvrit son cœur. 

Des mots simples(sans aucune connotation péjorative) pour une histoire tout aussi simple que touchante.

Eh bien ... tout simplement, merci ! Mais n'y a-t-il que vous qui commentiez les textes ? Je trouve dommage qu'il n'y ait pas plus d'échanges avec les autres qui publient ici ... 

La nouvelle version de notre communauté poétique a ouverte il y a seulement 4 jours. Il faut  laisser un peu de temps pour que les premières interactions puissent se créer et que le nombre de personnes inscrites augmente. Grâce à vous tous, nous espérons voir Accents poétiques atteindre rapidement son rythme de croisière 🚣‍♂️

 

N'hésitez pas à être l'un de nos porte-voix 🗣️ 

C'est vrai ! 🤭 Je n'hésiterai pas une seconde à employer mon cornet à pavillon ! 😉 🙂 Merci. 

Poème très touchant, qui va à l'essentiel et qui touche au firmament des passions... 

Depuis cette publication, @Joailes, il faut convenir que @Eathanor avait bien raison : le site s'est largement étoffé et surtout, que de belles plumes nous accompagnent au quotidien ! 

Un poème-aquarelle comme posé dans un écrin de brume. Le silence domine et semble peigné par ta plume. Ici on ne récolte que l'essence des mots et le parfum fait le reste... Magique jo!

Bonjour Joailes , le style narratif de ce beau et court poème tout en pudeur et retenue peut  évoquer la suite de scènes

d' une courte bande dessinée. Néanmoins ce qui me parle le plus et par delà la simplicité apparente du thème: je suis

convaincu que vous mettez en scène la rencontre de  2 personnages réels      

(La poésie est généreuse, néanmoins rien n'y saurait être gratuit , bien sur çà n' engage que moi)      

Éventail, ombrelle thé et ombres chinoises amoureuses, joli décor

Je pense au théâtre chinois, merci pour ce poème. 

@Pierre Brandao  : eh oui ! Encore quelques lacunes, mais il est vrai que les commentaires ont fini par arriver ... il y a ici des plumes magnifiques, c'est vrai. C'est sympa de faire remonter des poèmes anciens, merci ! (je l'avais oublié celui-là !) 

Merci @Frederic Cogno , @Filae 77 et @Cisco pour vos ressentis flatteurs.