Partager Posté(e) 25 septembre 2019 C’est l’horloge Au pays de l’absence Qui rythme le silence Du vent et des vignobles C’est sans attendre nos choix Que nos peurs creusent les surprises Plongeant ainsi sans frémir L’écume féconde de la déraison C’est au firmament Que les yeux se complaisent Dans le refus des ténèbres Et la crainte des ombres tremblantes Douces vagues mystérieuses Mélancolie dévorante Que les flammes mouvantes S’entremêlent d’extase. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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