Posté(e) 15 avril15 avril comment_194196 DAME nimbée de blanc tes pas dans les sentes fuligineuses de ma pensée se traînent-m'entraînent vers le sillage où ta peine s'incise Tu me traverses comme une grâce et ancres (encres ?) dans la nacre de mon vers un vertige un hiatus où chavire la pudeur de ton veuvage et le froissement de nos silences.
Posté(e) 15 avril15 avril comment_194197 Un très beau poème, élégant et sensible, une grande émotion, pudique, s'y inscrit, et en émane...
Posté(e) 15 avril15 avril comment_194202 C’est dans l’intervalle des mots et les silences que l’on perçoit l’émotion d’un poème.
Posté(e) 16 avril16 avril comment_194214 Une sensualité brumeuse, une pudeur douloureuse. Les mots glissent comme une présence absente.
Posté(e) 19 avril19 avril comment_194448 Un fantôme scriptural dans un texte où se trace sa présence mystérieuse. Dense, énigmatique, fascinant.