Posté(e) 14 avril14 avril comment_194109 Je n'irai plus sur la colline Regarder l'aube se lever Dans un ciel rose et délavé Ni voir fleurir les aubépines Je n'irai plus graver ton nom Sur l'écorce du vieux bouleau Ni écouter le bruit de l'eau Qui passe sous l'arche du pont Je n'irai plus par les chemins Fouler l'épais tapis des feuilles Sans me soucier des lendemains Et je n'irai plus contempler Sur la mer le jour qui s'effeuille Ni le soleil mort s'écrouler.
Posté(e) 15 avril15 avril comment_194164 Des images belles et douloureuses à la fois, pour un poème très touchant.
Posté(e) 15 avril15 avril comment_194178 Les lauriers de votre poésie n'en seront cependant pas coupés pour autant cher Illiz !
Posté(e) 16 avril16 avril comment_194248 Le 14/04/2025 à 17:09, Illiz a écrit : Je n'irai plus sur la colline Regarder l'aube se lever Dans un ciel rose et délavé Ni voir fleurir les aubépines Je n'irai plus graver ton nom Sur l'écorce du vieux bouleau Ni écouter le bruit de l'eau Qui passe sous l'arche du pont Je n'irai plus par les chemins Fouler l'épais tapis des feuilles Sans me soucier des lendemains Et je n'irai plus contempler Sur la mer le jour qui s'effeuille Ni le soleil mort s'écrouler. Intensément triste , un très beau poème où tout semble fini…
Posté(e) 17 avril17 avril comment_194336 Superbe poème qui enfile habilement l'anaphore déjà annoncée par le titre.
Posté(e) 17 avril17 avril comment_194349 Un sonnet entre abnégation et nostalgie, toujours superbement tissé.