Posté(e) 9 mars Ô vois-tu parfois l’inconsolable peine Du poëte vieux au regard non comblé ? Naissent en son sein des songes d’esseulé Et rien n’amoindrit le poids de sa semaine Passée à pleurer le vide de son lit. Rien n’effacera sa sombre solitude. Envolée au loin l’ardente plénitude D’une fille d’or que l’amour embellit ! Et pourtant, demain, si tu le veux, Marie, Tu puis égayer son existence aigrie, Mère du bonheur de chacun d’entre nous, Par l’avènement d’une fille de flammes, Splendeur des splendeurs parmi toutes les femmes, Qui partagera ses rêves les plus fous. (poème extrait de mon recueil LES NOBLES CADENCES auto-édité chez Amazon KDP) 1
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