Posté(e) 12 février (modifié) L’aube blanche est pareille au bras nu que tu glisses Au long de ta poitrine en un pur mouvement Dans cette pâmoison des étoiles complices Qui s’éteignent ensemble au fond du firmament. L’aurore est ton sourire et ton regard qui brille, Ainsi qu’à l’horizon le soleil nouveau-né, Éclaire ton visage au teint de jeune-fille Dans le réveil heureux et le bonheur inné. Le midi est en feu au zénith de ta gloire. Il inonde le ciel pour fêter la victoire Du jour de ton été sur l’ombre de la nuit; Et, quand vient le couchant avant le crépuscule, Tu retrouves l’amour qui va chasser l’ennui En fermant ta paupière au plaisir majuscule. Modifié 15 février par Jeep 3 1
Messages recommandés