Posté(e) 12 février D’une arête vive au brasier de l’aurore ai-je paru petit ogre ma soif courait plus vite que moi sous l’ombre portée de Babel et me voilà au zénith et le sable sans cesser glisse sous mes pas telle une route de fortune qui me précipitera à bas lorsque vêpres saturnales m’absorbera l’angle mort. 1
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