Posté(e) 3 février (modifié) Le rosier du jardin où s’entrouvre une rose Est l’arbre du printemps pour exaucer mon coeur Et sa fleur un amour dont la paupière close Est ainsi qu’un pétale un comble de douceur. Rien ne passe le soir dans la lumière rose L’ombre de son sourire et son regard moqueur Et je lis dans son âme un désir qui m’impose D’être son chevalier et son amant vainqueur. Je suis dans cette vie à mes jours étrangère Dans un rêve éveillé que maintenant je gère, Sans savoir si je dois en être conscient, Et ne veux que cueillir une rose éternelle, Une fleur délicate à la robe si belle Que je suis de l’ôter toujours impatient. Modifié 4 février par Jeep 1 1
Messages recommandés