Posté(e) 1 février (modifié) Les signes sont cygnes Gelant le temps Dans les gouttes de lumière Un jour, je perçus un signe qui me sembla Différent. Fût-ce son improbabilité Seule (Je ne saurais le dire cette fois) Qui s’immisçait dans mes battements réguliers ? Il est maintenant tant de signes qui se suivent Instamment qui bouleversent mon cœur autant Ne sachant pourquoi ils existent, élimant Toute raison, inscrivant L’heure fugitive. Et, si j’aime à t’imaginer delà le temps, J’ose à peine le subodorer cependant Bien que mon cœur toujours t’attend dans l’irraison. Le hasard se mourant dans l’accumulation, Mes larmes en quête de toi se dévêtissent Lorsque les lisières peu à peu s’affranchissent. L’accumulation met fin à l’impression de hasard Sigmund Freud Poème écrit il y a plusieurs mois Modifié 1 février par Sophie 1 1
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