Connecté Posté(e) 31 janvier Falaise glacée aux éclats de rose, Tu t’étends jusqu’à la mer des chagrins. Je te fuis et c’est le vent qui m’expose Aux gerçures d’âme au hasard des grains. Le couchant fatal, qui toujours s’impose En rosace pleine aux ciels pérégrins, Dans l’ombre devient lieux de toute chose Dont des spectres noirs sont les souverains. J’ai vu les vitraux, la vague et l’espace, Et des vols obscurs, comme une menace Latente et pourtant présente en leur sein. Or les feux causés par une étincelle Faisaient augurer d’un autre destin Aux cendres du temps dans mon escarcelle. 1 1
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