Posté(e) 9 janvier Je vis, je cours, je meurs et ne pense qu’à toi. Je chante et je gémis dans la même séquence Et l’ombre qui me trouble est celle de l’émoi Lorsque je m’y engouffre et repars en souffrance. Je ne sais pas te dire où se place l’amour, Au vent de quelle étoile et dans quelle ignorance, En quelle incertitude en mesure du jour Où déjà je m’égare, où pourtant je m’avance. Je mange ton visage, épris de ton regard Dans lequel je me noie et me retrouve hagard, Esclave de ton être et de mon attirance, Puis au temps sacrilège où nous nous enlaçons, Je deviens délirant, en l’état de démence Qui transforme l’amour en pure déraison. 1 2 1 1
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