Posté(e) 27 novembre Comme une poupée petit tas sanglant brisé dans son élan Ô Vies coupées sous les bagnoles de la mort frappées à travers et à tort Le vent mauvais passe et puis le temps efface l’aléa funeste Le chauffard à son volant dont l’esprit est absent collé au macadam qu’il se putréfie lui-même Sans toi corniaud une seconde plus tôt une vie galopait Range-toi sur le côté laisse traverser la vie et disparais ! 2 1 2
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