Posté(e) 26 novembre 202426 nov. comment_184542 Neige Le vent passe en tourbillonnant Emportant des flocons blancs Le vent passe en tourbillonnant J'attends J'attends je ne sais trop quoi J'attends je ne sais pourquoi J'attends La neige valse, le neige danse Le vent mène la danse La neige valse, la neige danse J'attends J'attends je ne sais trop quoi J'attends je ne sais pourquoi J'attends Derrière la vitre lorsque le frimas vente Et sculpte ses feuilles d'acanthe Derrière la vitre lorsque le frimas vente J'attends J'attends je ne sais trop quoi J'attends je ne sais pourquoi J'attends Le nez collé à la fenêtre Dans l'espérance d'un peut-être Le nez collé à la fenêtre J'attends J'attends je ne sais trop quoi J'attends je ne sais pourquoi J'attends
Posté(e) 26 novembre 202426 nov. comment_184545 Un joli poème, une charmante chanson de saison à l'essor !
Posté(e) 26 novembre 202426 nov. comment_184550 Danse de l'hiver qui nous enferme dans l'inaction. Jolie cadence!
Posté(e) 26 novembre 202426 nov. comment_184559 Cela me rappelle un peu un certain poème d'un certain poète: Maître Yvon soufflait dans son biniou Je ne sais plus quand, je ne sais plus où L'esprit s'envole. On quitte l'immanence pour la transcendance.
Posté(e) 26 novembre 202426 nov. comment_184563 Attendre sans savoir quoi, peut-être que la neige fonde ? On ne dira jamais assez la poésie de l’attente.
Posté(e) 27 novembre 202427 nov. comment_184575 Attente et espérance ne sont elles pas sœurs jumelles…
Posté(e) 27 novembre 202427 nov. Administrateur comment_184581 La neige nous plonge effectivement dans une lente torpeur hypnotique que votre poème traduit bien.
Posté(e) 27 novembre 202427 nov. comment_184592 Il y a 16 heures, Julien Ertveld a écrit : J'attends je ne sais trop quoi J'attends je ne sais pourquoi J'attends Attendre ainsi sans savoir quoi ni pourquoi finit pas être lassant... Pas mon truc 😉