Posté(e) 13 novembre 2024 Comme s’en va la brume à napper l’horizon, D’un bout du jour à l’autre en vague de silence, De l’ombre et du soleil se rythment la cadence Et la trame du temps à perdre la raison. La mort est de toujours et s’étend pour de bon Et c’est la même encore en son indifférence Qui suit les pas perdus de l’amour en partance Pour un autre pays dans une autre saison. Mais que vienne la mort en ce lieu où se trament Les prémices des deuils qui succèdent aux drames Pour que puisse advenir le printemps de l’espoir ! Dans les yeux des amants réside le mystère, Cette promesse faite à l’aube du grand soir, Que le ciel en lambeaux ne pourra jamais taire. 1 1
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