Posté(e) 2 novembre (modifié) sonnet irrationnel Tant de silences froissaient leurs ailes Liserées d’immensité mortelle Le ciel noyé de larmes d’étoiles Ligne insensée perlée d’or et de brise Dans le dévoilement de la toile Un mot cousu de silence de sel S’endormit dans l’encre immatérielle L’absence dans le temps bordait les voiles Ligne insensée perlée d’or et de brise Mais elle reculait insoumise J’ai rêvé dans le substrat des mots La vague naissant même indécise Archet liquide à maintes reprises Frôlant de son âme nue l’oiseau Modifié 4 novembre par Sophie 1
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