Posté(e) 31 octobre (modifié) Était-ce le bonheur d’avoir été heureux, Savoir que tu n’es plus depuis bien des années, Que les fleurs de ta vie aujourd’hui sont fanées, Que rien ne restera des baisers langoureux ? Oh ! s’il te plaît, reviens ! je suis si malheureux Quand je repense à toi, aux heures surannées Du temps qui n’était rien pour les fleurs condamnées Qui seront toujours là, malgré les jours affreux. Tu ne reverras pas les fleurs qui me meurtrissent D’encore resplendir, sans qu’elles ne guérissent L’absence insurmontable et le manque de toi Et de leur fanaison je ne lis que symbole De ce qui disparaît par la cruelle loi De la déliquescence, oh ! triste faribole. Modifié 31 octobre par Jeep 2
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