Posté(e) 30 octobre 202430 oct. comment_182617 Ô soleil toi qui rends belles les choses Quand de l'aube au crépuscule tu luis Dans les jardins refleurissent les roses Et tel le jour tu meurs avec la nuit Traversant l'ombrelle des verts feuillages Vers nous tu dardes d'obliques rayons Et leurs reflets changeants sur nos visages Dansent ainsi qu'un vol de papillons Mais quand trop vive se fait ta brûlure A l'ombre il fait bon attendre le soir En écoutant les bruits de la nature Où tombe la fraîcheur douce du noir.
Posté(e) 30 octobre 202430 oct. comment_182620 L'été, on cherche l'ombre, et l'hiver, on cherche le soleil ... CQFD ! 😉
Posté(e) 30 octobre 202430 oct. comment_182633 Une belle ode au soleil, @Illiz Rien ne survit sans sa lumière.
Posté(e) 31 octobre 202431 oct. comment_182639 Il y a 6 heures, Illiz a écrit : Et tel le jour tu meurs avec la nuit Mais vous sonnets illuminent nos nuits…
Posté(e) 31 octobre 202431 oct. comment_182642 Un très bel hommage au soleil, empli de sensibilité et de nuances délicates !
Posté(e) 31 octobre 202431 oct. comment_182646 Trois quatrains à la gloire du Dieu Soleil, et règne l’harmonie.
Posté(e) 31 octobre 202431 oct. comment_182655 Une contemplation bienvenue à l'heure où les rayons vont commencer à se faire plus rares 🙂
Posté(e) 31 octobre 202431 oct. comment_182703 Le 30/10/2024 à 20:55, Illiz a écrit : A l'ombre il fait bon attendre le soir et en attendant le clair...de lune !
Posté(e) 2 novembre 20242 nov. comment_182830 Le soleil est là mais les humains ne le voient pas. Merci pour ce rayon.
Posté(e) 2 novembre 20242 nov. comment_182850 Le 30/10/2024 à 20:55, Illiz a écrit : Ô soleil toi qui rends belles les choses Quand de l'aube au crépuscule tu luis Dans les jardins refleurissent les roses Et tel le jour tu meurs avec la nuit Traversant l'ombrelle des verts feuillages Vers nous tu dardes d'obliques rayons Et leurs reflets changeants sur nos visages Dansent ainsi qu'un vol de papillons Mais quand trop vive se fait ta brûlure A l'ombre il fait bon attendre le soir En écoutant les bruits de la nature Où tombe la fraîcheur douce du noir. Un clair de soleil où la clarté des mots de ton poème tendrement amoureux renvoient au corps astral toute sa majesté 😉