Partager Posté(e) 12 octobre L’obscure bouche ouverte Irrigue les songes Cruels berceaux Où s’installent ruisselantes Les larmes du miel La question s’échappe de veines en veines À la recherche d’un fantôme incrédule Trébuchant sur les pierres envahissantes Aucun instant n’est harmonie Si le brasier chante le vertige Aucun vertige Ne ronge les fissures de l’oubli C’est toutes les heures Que sonnent les semences Équilibre si proche de la terre Prière si fragile au bout du fardeau. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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