Partager Posté(e) 2 octobre L’écrin sera trop doux, qui contiendra mes nuits, Des épaules de nacre aux blondes chevelures Qui deviendront forêt de jambes, de guipures, Ainsi que dans le rêve aux désirs enfouis. Sur les ventres féconds comme le fond des mers Mes mains agripperont des torses et des bouches, De roses mamelons, des sourires amers, Dans un ruissellement de passions farouches. Et je chuchoterai des verbes de bonheur Dans la musique obscure où s’abîme le cœur À se vouloir trop grand pour le repos de l’âme, Mais l’attente sera, dans un autre univers, De trouver l’indicible au-delà de mes vers Pour mieux me racheter d’un sentiment infâme. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés