Partager Posté(e) 1 octobre (modifié) Les bras chargés de vents la forêt t’acclame lustrée de soleil illuminée de pluie ô tonne saison d’or ! Au remous de ces palmes l’astre redescend en rai d’argent s’effile figeant son sang vermeil remords fuit l’automne. Prêt à choir en sommeil que déjà profile veilleuse bien trop calme un chant monotone berceur sans effort. Bientôt ce trésor délité par la bise tel le glas qui sonne blêmira mon âme guettant le réveil. Modifié 2 octobre par Thy Jeanin 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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