Partager Posté(e) 30 septembre Tu prends l’âpre chemin le cœur clos et glacé Tes bras ne s’ouvrent plus qui délivraient de l’ombre Tu es pris au filet de tes silences usés d’orgueil et de rudesse Tu ne sauras jamais le rire de son enfant et l'abîme se creuse de souffrances inutiles Tu n’es pas en lieu sûr dans ton entêtement sans la grâce consolante des possibles à venir Il y a tant à offrir dans la paix retrouvée entre une fille et son père si le pas est franchi pour taire les rancoeurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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