Partager Posté(e) 28 septembre Que n'ai-je froissé ce poème dit à la nuit qu'elle est blasphème dans un sombre corridor elle me prend et me dévore quand l'écharpe vespérale m'enserre et m'avale comme un serpent venimeux que n'ai-je fermé les yeux ô longues heures d'agrypnie qui m'ont nourrie sycophantes et cruelles en battements d'ailes en manque de lui trou béant de la nuit éblouie par l'éclat de ses gemmes que n'ai-je froissé ce poème ? (joailes ------------) 27 septembre 2024 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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