Partager Posté(e) 4 septembre sonnet irrationnel Elles demeurent sans heurt, sans pleurs Glissent sans défaillir, sans périr Sur l’onde aux mille éclats du cœur Diamants aux longues veines livides Il n’est de silence sans mourir Quelque peu sur la portée des vagues La glaise du temps mêlée au rire Sur le rivage où le sel divague Diamants aux longues veines livides Des soleils s’inondent impavides Un chemin d’algues dans la soie bleue L’or tamisant le rêve si peu Dans la marée aux draps translucides Où crochent des notes intrépides 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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