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Posté(e)
comment_175903

     Mère Anne à qui l’on a confié la petite, je t’ai reconnue sous ton voile diaphane, ô maîtresse des hermines, libres et nivales fées de blanche Brocéliande, l’on te sait ni mariale, ô mère universelle, ni mariée – en ces temps qui ignoraient le parèdre. Dieu n’avait point de barbe qui n’existait pas et déesse tu enfantais sans cesse tous les possibles des univers – ô belle et mûre je t’ai retrouvée intacte sur le front brillant des cieux, le flanc fécond des mers – et te salue, Ana, étoile des celtitudes premières, avant que d’Orient ne surgisse les nuées séminales d’un Rê sur ce neuf trône, conquis par force. Fallait-il qu’on te laissât instruire de sa misère, la Dolorosa ? Oh faut-il que les mères depuis le grand mâle heur, accouchent de toutes nos douleurs ?

Posté(e)
comment_175977

On se croirait dans un roman de George R.R.Martin 😉 

 

Il y a 14 heures, Thy Jeanin a écrit :

sur ce neuf trône, conquis par force.

 

  • 2 semaines plus tard...
Posté(e)
comment_176906

Une nouvelle prière à la mère de Marie qui peut convaincre même les incroyants.