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Featured Replies

Posté(e)
comment_174421

La plaine écrasée de chaleur

Semble dormir profondément

Et  même le souffle du vent

Ne peut contrarier sa torpeur

 

De l'aube jusqu'au crépuscule

Les tournesols sur la colline

Vers le soleil ardent s'inclinent

Et là-bas l'été déambule

 

Dans l'entrelacs dense des lierres

Un essaim fébrile d'abeilles

Butine leurs fleurs mellifères

 

Tandis qu'au jardin les groseilles

Gorgées de lumière irradient

Comme des milliers de rubis.

 

 

Posté(e)
comment_174430

Une explosion de couleurs et de sensations ! L'été dans toute sa splendeur sur les "plaines écrasées de chaleur". 

Posté(e)
comment_174438

C'est superbe, @Illiz. La dernière métaphore me fait penser à des peintures de Klimt.

Posté(e)
comment_174475

Ces groseilles réveillent chez moi des souvenirs d’enfance de cueillettes interminables !

L’été, cette saison qui remplit les greniers…

Mais votre grenier de poésie est toujours débordant @Illiz !

Posté(e)
comment_174493

Toujours une fine et poétique observation de la nature , bravo .

Posté(e)
comment_174516

Joli poème contemplatif

Posté(e)
comment_174545

Une déambulation estivale et poétique sous un soleil brûlant, dont on souhaite qu’il ne soit pas un jour trop intense.

Posté(e)
comment_174558

Un été sublimé par votre plume comme par un talentueux pinceau.

Posté(e)
comment_174634

Très joli poème estival. J'ai bien aimé les groseilles irradiées en rubis.

Une observation  sur le plan végétal ; le lierre fleurit en décalé par rapport à la majorité des autres, de fin septembre à octobre. Ce qui offre aux butineurs une nouvelle source d'alimentation, quand la plupart des autres fleurs ont terminé leur floraison.

Posté(e)
comment_174677

Au final l'été, sous une très forte chaleur, peut se révéler presque aussi calme que l'hiver...