Posté(e) 29 avril 2024 L’encens accompagne l’émotion Et navigue de volets clos Au hasard endormi des amarres L’invisible reflète souvent le silence Avant de distiller le firmament Le sentier vorace Aussi fragile que délirant Chevauche bûcherons et forgerons Offrant le danger des boussoles Afin que la malice incohérente Tombe et retombe Au pied du souffleur de verre Vain est le murmure Qui s’échappe des soupirs Et frémit sur les chemins obscures De la mémoire pétrifiée Défaillir est un trait de lumière Et le reflet d’argent transporte l’offrande Depuis l’insolence jusqu’aux griffes du fruit. 1 1
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