Posté(e) 1 avril 2024 Si toujours s’enlace à l’amour Le gris dénudé des nuages S’étourdit aux matins blancs Et si parfois les calices Ne chantent pas au son des violons Pour les cyclones en perdition Le trop plein des forges se love aux déliés Des fleurs de l’hiver Retrouvons le voyage Qui s’enfonce sans éloquence Dans les frayeurs enchevêtrées Dans la frayeur de la fatigue Retenons notre souffle fleurissant Aux charpentes de l’incertitude Et fixons nos regards sur la clarté Cueillant ainsi l’écume au sommet des vagues Les soirs de pleine lune obéissante Un jour peut-être la préférence Marchera sur des couteaux Généreuses imperfections. 2 1
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