Partager Posté(e) 27 mars (modifié) Je me souviens je me traînais dans l’ombre broyé par les glaces d’un hiver infernal aux flammes de la passion cœur brûlé corps éclaté au gré de ma faim la fin enfin échue au silence je crus ne devoir compter plus et c’est alors que parut ton sourire tu m’as caressé la joue tenu l’épaule ô la Sérénité coulait de ta paume ta bouche était l’oracle pour que chantât ce printemps azur et piano sonnant à tous les étages de la rue je n’avais plus qu’à m’envoler du pavé quotidien et ce fut bal radieux que sommait le soleil où tu disparus Modifié 27 mars par Thy Jeanin 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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