Fasce perdue

[Thy Jeanin]

Une fasce* fêtarde – plus un fatras – fétide et plein de feu, feulant un farsi farouche, faseyait sa felouque à toutes fins de farce, ça ! - mais visait véritablement la chasse au farlouse, armée de faro en futs, fermenté de quelque farinacée fatidique, et fixait, ma foi, des yeux effarouchés sur les fasciations fastueuses de cimes fastigiées en pleine feuillaison tout en fartant ses rames, attendant la lunaison pour fourbir ses armes.

 

Frustes et fascinés, ces jean foutre frôlaient en leur évanescente ivresse, à les fusionner : la fascisation et le foutoir.

Certes, ni félon ni femelle parmi ces hominidés fêlés vautrés en leur nef de fous, sinon au trottoir, et tard le soir du côté de Zanzibar, où tout lascar sans falzar s’égare...

 

Ce fut tôt, à force de se farcir la panse en danse au festin des futailles, un festival de fesses affairées, ô tréfonds faisandés, par-dessus le bastingage des bateaux balancées, et voilà par la gite agitée tant et tant la bande de ballots et benêts, que -bouârkh !- s’arc-boutent à se délivrer le ventre ces vantards avinés et finissent vautrés en fange, à défaut des rangs fignolés par ces sections spéciales (entendez : ces sectateurs de la dissection inquisitoriale nazifiante qu’on nasille sans insister ni gazouiller), ni d’assaut ni même d’assise, ces nases là.

 

Et voilà s’envolant la farlouse sauve laissant çà et là, las, les fauves assoupis dans leur dégueulis d’abrutis raidis de bêtise, broutant en leur soute, soudards abhorrés, les raclures et rinçures de leur inanité fluidifiée – fi, le défi ! – à la flotte promise en frugal régal pour la dent de quelque démon halieutique, Léviathan à éviter, si non plus ne lévite (à vérifier).

 

N’est-ce, ô pêcheurs, à l’encre de canular géant ?

 

 

 

* Des notes ? Pffffastidieux !