Partager Posté(e) 12 mars Ainsi lorsque la rouille Abandonne la moindre vigueur La source loin de l’ardeur des cascades Dévore sans retenue flambeaux et fougères Sans retenue à genoux Et sans remords Les souvenirs s’écroulent Les yeux bandés Dans l’absence désarmée C’est alors que la vapeur petit à petit s’évanouit Dans la semence Dans la blessure Le breuvage ruisselant Se fracasse sur le flanc de l’enfance Décembre sera toujours décembre Complice solennelle d’apesanteur Écumant le futur de janvier Inévitable destinée Inévitable solitude. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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