Partager Posté(e) 10 mars (modifié) Aube, fille du temps du jour recommencé Dans la chambre immuable où tout reste en désordre, En témoin de la nuit et de cet impensé Qui me donne à pleurer et du fil à retordre, Aube, fille de l’air dans le déclin du feu Dont la braise au matin dans le rêve s’achève, Mais qui s’élève encore aux accents de l’aveu Qui résonnent toujours sur l’estran de la grève, Mon aube maléfique et pourtant que j’attends Sur les pas du sommeil aux précieux instants T’ouvriras-tu au monde où le bonheur existe, Ou bien resteras-tu cette pauvre clarté Qui viendra remplacer le chagrin écarté, Sans pouvoir effacer la douleur qui résiste? Modifié 11 mars par Jeep 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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