Partager Posté(e) 9 mars Affleurer sous les oripeaux L’étrange blancheur Tout en sachant que les sentiers peuvent souffrir Des coups de pied Que l’on offre aux oranges Les soirs de grandes marées Les soirs de grande ivresse Et puis à l’heure des roseaux L’invisible meurtri par le cristal Qui goutte à goutte Épuise le regard si fragile Et les flambeaux infidèles Croise le plomb sans coup férir Délicates caresses Le satin n’est ni naufrage ni gouffre Laissons le liseron Envahir nos yeux écarquillés Par le souffle sauvage Laissons l’osier et le parfum des amandes Enflammer l’orage Et l’espoir frémissant Des galets sous les vagues. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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