Posté(e) 1 mars 2024 L’Allier s’évapore en septembre Les champs brûlés Les oiseaux rassemblés Une douce chaleur Des parfums d’automne Avivent le souvenir de tous les yeux fermés Les ponts sont scellés aux rives Les chemins tracés Mais le jour est sanglant quand il naît Elle ne reviendra jamais Les effilés de brume s’étirent violets Entre ses lèvres affleure une prière
Messages recommandés