Partager Posté(e) 18 février Subsistent les sons mélodieux À la portée lointaine Par l’air frais qui abonde Aux sources des eaux qu’inondent Les fontaines S’envolent les chants des rossignols jusqu’aux cieux Alors se retire doucement la nuit Sur le règne de l’entre-deux De la lune au soleil Leurs rayons pâles encore obscurcis Projetant à l’horizontale leurs vœux Sur le jour qui s’éveille Pour l’humanité endormie Rien encor qui émerveille Sa lumière en éclats de rubis Sur les surfaces voilées des luttes en sommeil Les couleurs s’infiltrent sous les portes Elles traînent leurs cohortes Offrant timidement leurs panels De bleu-brun, blanc, dorés de pastels Avant l’aube Où le ciel étreint dans l’ombre La terre dans ses bras Avant que ne sombre La lune encor éclairée du soleil Compose une chaleureuse symphonie Harmonisant les notes de la vie Aux heures de l’éveil Pour tous les hommes à la ronde Au rythme du premier matin du monde Subsistent les sons mélodieux À la portée lointaine . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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