Partager Posté(e) 15 février J'ai toujours cru à la folie du hasard en ses caprices printaniers un soupir de neige fine qui frôle l'haleine d'une flamme D'ailleurs je sais que le temps respire encore puisque la nuit est impensable sans ce bruit de fond qui sourd du plus profond de ma mémoire Comme ce vieil air de jazz qui sort de la pénombre et joue en sourdine la musique de ton nom Ainsi je réapprends ton langage qui me parle entre le lit et le plafond un refrain de longs frissons qui revient sans cesse de nulle part Alors je ne pense plus , je chante ma voix embrasse ta transparence je redeviens l'époux de ton ombre un amoureux balourd mais en transe Un homme de chair ou de cendre que la mort invite à la danse avant que le jour nous sépare et me laisse seul avec ton absence 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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