Partager Posté(e) 12 février Ma vie était semblable à cette vaste plaine De la vacuité dans mes mots d’autrefois, Où planaient le mystère et le temps aux abois, Heureuse, élucidée et pourtant incertaine, Une autre vérité qui n’était pas la tienne, Que je n’avais besoin de chercher dans les bois, Ô toi qui m’avais vu m’interrogeant parfois Sur le poids des démons d’une douleur ancienne, Mais ce très haut pays, qui ne m’appartient plus, Devint aussi le tien lorsque le rêve inclus Ne fut plus le passé débordant de tristesse, Puisque tu te trouvais au croisement du jour Dans un lieu si propice au début le l’amour Que même les oiseaux en chantaient d’allégresse. 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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