Partager Posté(e) 27 janvier brusquement l’univers Se balance de murmures De gouffres en voilures Et le marbre sonne le glas Les larmes ne sont rebelles Que pour mieux s’évanouir Dans l’écume sauvage Au revers de l’abîme Insaisissable silence Où l’encre s’abreuve de sang Sur les linceuls aveugles En bois de chêne Le néant est un jardin suspendu Complice de l’aurore Et l’aventure est un poignard Planté dans le dos de nos rêves. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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