Partager Posté(e) 18 novembre Le vitrail écoule son rêve Dans le drap de nuit Bordé de l’âme des roses Voici que la lune S’inonde en vain dans l’absence Ce soir le ciel est si noir L’encre étreint la page La plume vacille encor Dans la transparence Des heures longeant le rêve L’horizon étire Ses ors sur la rive enfuie L’ancre délaissée Le cygne se meurt sans cesse Dans la déchirure Du voile tissé d’opales Le chant redessine la Nuit quand son sang s’obscurcit Les éclats de lune Scellent peu à peu la nuit Ondoyant sur l’onde Le souffle supplée les mots A l’heure où gite la barque 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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