Partager Posté(e) 30 septembre 2023 Butes bleues coteaux roses au matin bordaient un étang de mica blanc. De l’horizon jasmin l’aurore d’or éblouissait l’azur lavé de larmes - ciel en vacance. On devinait au loin la mer s’étendant violette en grand silence. Calme en la maison au petit matin les grandes baies vitrées transférèrent des nappes de lilas furtif, éclaboussant la chambre calme au petit matin. Toi, moi je te voyais causer chantante grave et douce - au petit matin se quitter, partir Chaque retour à la grande nuit exhale une odeur de rose mêlée d’azur et les coteaux réapparaissent en grand incendie. Ô miroir éternel d’un instant ! Mais ses feux ternissent vite, avec eux ceux de tes yeux dans la maison au matin éblouie - et je cherche en vain les traces du drame si fugace, la grande tragédie ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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