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comment_152612

 

          Butes bleues coteaux roses au matin bordaient un étang de mica blanc. De l’horizon jasmin l’aurore d’or éblouissait l’azur lavé de larmes - ciel en vacance. On devinait au loin la mer s’étendant violette en grand silence.

 

          Calme en la maison au petit matin les grandes baies vitrées transférèrent des nappes de lilas furtif, éclaboussant la chambre calme au petit matin.

 

          Toi, moi je te voyais causer chantante grave et douce  - au petit matin se quitter, partir

 

          Chaque retour à la grande nuit exhale une odeur de rose mêlée d’azur et les coteaux réapparaissent en grand incendie.

 

          Ô miroir éternel d’un instant !

 

          Mais ses feux ternissent vite, avec eux ceux de tes yeux dans la maison au matin éblouie - et je cherche en vain les traces du drame si fugace, la grande tragédie !

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comment_152680

Une ambiance feutrée enveloppe ce beau texte.

Merci Thy Jeanin.

 

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comment_152698

Une polychromie pour annoncer un drame fugace qui restera mystérieux et cette interrogation, outre l’évidente poésie, fait l’intérêt du texte.

Modifié par Jeep

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comment_152883

Un véritable feu d'artifice ! Mais une fois fini, les ténèbres reviennent ... 

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comment_152922

Un décor, une ambiance, des pensées, un regard.... Puis plus rien, le vide, l'absence et ce parfum des souvenirs qui reste accrochés à la mémoire de ce petit matin.

Une belle réflexion pleine de mystère qui allume des touches allant du parme clair au rouge violacé.