Partager Posté(e) 26 septembre (modifié) un cri un coq 5 h du matin des soleils fanés réveillant l'enfance des buis par la fenêtre les senteurs perdues ravivant le passé dans ma demeure les volutes du café le silence de la solitude rejouent le portrait de ma vie dans ma demeure les cantates de Bach à mon chevet harmonie baroque annexant dans une joyeuse aquarelle empreintes du jadis traces du présent sur mon cahier de nuit j'enfante la solitude bienheureuse Modifié 26 septembre par Margueritte Cèdre 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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