Partager Posté(e) 25 septembre Il naît île ailes croassant autour d’elle le phare aluné nuit et jour comme au four cécité des nécessités les astres nefs s’épavent autour de lui alcyon sur la crête assis entre deux bancs de sable blanc rêve-t-île gardien des ris en cette alcôve hélicoïdale dédale où vissée la vie passe au chenal de l’ennui oisillon d’épair ronge tes vers va l’ange qui vague apostrophe d’écume poète vos plumiers lui bat de l’elle la mer amirale c’est son buis sa croix du Sud la boit à lampées de feu goutte à goutte l’horizon d’abord puis sirènes korrigans tel un divin enfant pas de gilet ni bouée au gibet pend le serein plein du suroît l’Iroise en sa noise est marche du Sîdh ô j’acquitterai l’île à tire d’aile c’est ciré mésusé ce suaire bleuté d’ouate enflée de sang d’âme va ma nacre neige au portant mais l’ancre ensablée à la nuit d’un désastre l’encre est blanche trop tard sur la carte il est né au péril de son île le divin instant envoilée d’elle son aile envolée au fracas des lames bois flotté 6 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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