Partager Posté(e) 16 septembre Dernier samedi soir J’ai perdu petit matin souliers déshabillés Mes pieds d’enfant glacé à moitié, cherche pas Ce chemin maquillé vélo quatre roues cycle et retour, Ces quatre saisons printemps envolé sans renaissance Le poignard dans son étui sous le lit luit sans moi Et dans ce filet trop petit je suis un poisson qui grandit Mon cœur emmailloté retient sa respiration Gonflement poitrine et tambour sur le cuir J’entends la pulsation du déchirement Lâche et serrée, un mouvement sans retenue Qui détruira vague (féminin et masculin) Le terrain nu sur lequel tu aimes sale Et derrière la vitre la pluie s’abat Le démon a cessé 1 1 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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