Partager Posté(e) 20 août (modifié) Gît le fantasme enfin sans fin de la "vraie" vie ! Poupée russe des instants sous les toits avec toi Ne plus participer à la vie de l'envie Regarde par la fenêtre tout avec moi Dis les mots de tous les jours "avec le temps" Tout revient; ne nous quittons plus, bouclier urbain Enlace-moi, serre-moi aussi fort qu'un printemps Bloquons cet instant dans le cristal de nos mains Et on attendra le retour de toi l'enfant Car c'est pour toi que je crois encore en nous Ici, dans la pénombre de l'espoir, ce faon Qui voit bien que son pauvre père le cerf bout Se met à serrer ses bois encore malingres Vite ! Promets-moi de reprendre sa suite Vite ! Le temps compresse ce pauvre pingre ! Vite ! son espérance est bien trop cuite... Modifié 21 août par Diane Orthog. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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