Partager Posté(e) 20 août Les constellations Méritent-elles les vagues salvatrices Les étoiles cruelles de nudité Ignorent-elles l’heure des falaises Les amants ne rêvent jamais avant minuit Tant que l’univers insoumis Ne clôture les fleuves et les forêts S’enliser pour dessiner l’ébène Et peindre les voilures angoissées Dessiner le voyage aux ordres ténébreux Et peindre les baisers brûlants comme le chaume L’ivresse éblouit les frissons Et claque dans l’ombre Là où les fantômes serpentent dans le vide Poètes n’oublie pas l’inutile Ni les phares se noyant sur les coraux Qui au détour d’un trouble cauchemardesque S’éparpillent corps et biens Sur les miroirs et les échos Poète n’oublie pas l’inutile Ni l’encre qui mesure l’abime Éclaboussant les serments. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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