Partager Posté(e) 19 août Te souviens-tu des ponts de Toulouse La Garonne emportait au plus loin nos amours Mort nées des Pyrénées ô neiges éternelles Le bonheur qui frôlait nos épaules demeure Chaque instant de ma vie et pourtant il se meurt La mémoire en lévite au beau milieu du ciel C’est une épine au cœur un ballot des plus lourd Et pour m’en affranchir il faudra l’heure douze ! 7 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés