Partager Posté(e) 26 juin 2023 (modifié) Sous ses grands yeux où se perd l'immensité bleue Le temps qui passe a donné à ses jolies cernes L'iridescence violette des luzernes Et quelques touches de blanc dans ses blonds cheveux L'ardent soleil qui a buriné son visage A bruni sa peau comme une pomme bien mûre Et dessiné doucement les rides futures Qui chaque jour nouveau lui rappellent son âge Son coeur ne connaît ni l'automne ni la pluie Et dans son âme qu'un doux soleil illumine Jamais non jamais n'entre la mélancolie Son sourire est beau comme une aurore marine Et sa voix est si douce en ce matin d'avril Quand le printemps revient d(un hivernal exil. Modifié 26 juin 2023 par Illiz 8 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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