Partager Posté(e) 31 mai (modifié) Il y a l’océan qui me semble une femme Que déroule la vague et dont le ventre est frais. Je veux en découvrir les terribles attraits Dans le jour finissant et le trouble de l’âme. Lorsque dans l’étendue où rien ne se devine Son corps nu m’apparaît ainsi qu’un paradis, Il se révèle en gloire aux désirs inédits D’une écume dorée en lumière divine. Je vois son dos mouillé et veux la chevaucher, Mais la vague déferle et me fait le cocher D’une cavale folle où mon plaisir s’étire Jusqu’à toucher le fond des algues de velours Qui glissent sur mes mains comme des seins trop lourds Que je peux caresser au bout de mon délire. Modifié 1 juin par Jeep 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés